Bonjour, je me présente (pseudo IG ThiryT)
Thomas, 25ans, je joue à minecraft depuis un petit moment déjà.
Je suis à la recherche de mon premier serveur minecraft et google à été mon ami pour trouver cette communauté
Je ne suis pas un grand builder (que de contraire), je suis plutôt farmer et je découvre petit à petit les secrets de la redstone
Je souhaite vous rejoindre pour parfaire mes connaissances. Et oui on en apprend tous les jours ^^
Pourquoi Zcraft? Le fait qu'il soit impossible "d'acheter" des privilège est un point extrêmement positif à mes yeux. J'aime également le côté "esprit du jeu original". J'adhère complètement à ces principes. Le but de tout cela est quand même de passer un chouette moment en communauté sur un jeu que nous apprécions
Je suis Belge ^^ et j'habite dans la plus belle région de ce plat pays : la citée ardente de Liège
Le côté semi rôle-play m'intéresse aussi. J'ai un petit personnage, je vous joint son histoire pour les plus courageux
• Nom : Inconnu
• Prénom : Fitz
• Âge : 31 ans
• Continent d'origine : La Région
• Taille et corpulence : 1.85m pour 78kg
• Métier(s) exercé(s) : Assassin et fermier.
Portrait de Fitz
Fitz est un homme de 31 ans, malheureusement, les années et ses « occupations » n'ont pas étés clémentes avec lui, en effet, il en paraît 45. Il n'est pas plus grand que la moyenne, il mesure 1.85m et fait partie de la catégorie des poids plumes avec ses 78kg tous mouillés. Cependant lorsqu'il retire sa chemise, un corps athlétique se dévoile. En observant plus minutieusement, on peut remarquer qu'il a été victime d'une blessure grave. Son torse présente une cicatrice rosâtre. Cette dernière trace une diagonale entre sa clavicule gauche à sa côte flottante droite. La peau autour de cette cicatrice est toute étirée, signe de mauvaise guérison. Fitz paraît faible, meurtri et lent. Mais c'est ainsi qu'il souhaite être perçu. En réalité Fitz est très agile, certes ses articulations sont parfois douloureuses, mais lorsque c'est nécessaire, il retrouve la vivacité, l'aisance et la vigueur d'un homme de vingt ans. Il est toujours alerte et porte constamment discrètement ses dagues d'assassin, une sous sa ceinture et la seconde dans sa botte. La vie lui a appris qu'il doit quoi qu'il advienne être sur ses gardes et au courant de tous les évènements qui l'entourent.
Fitz n'a pas eu la vie dont tout jeune garçon rêve. Que du contraire. Son existence lui en a fait voir « des vertes et des pas mûres ». Cela a eu pour effet de lui forger un mental d'acier, une volonté incroyable de survie, et étrangement, une grande empathie. Pourquoi vous demandez vous ? C'est pourtant si simple, pour tuer une personne, il faut pouvoir se mettre à sa place. Comprendre les pensées de l'adversaire, ses peurs, ses préoccupations, ses désirs, ses raisonnements, c'est la clef pour aboutir à un travail de longue haleine de façon précise et efficace.
De ce fait Fitz est quelqu'un extrêmement discret. Il aime observer les gens. Il préfère depuis « Ce Jour » vivre seul, ou en petite communauté. Il a ses propres idées et valeurs ancrées en lui et est prêt à les défendre. Néanmoins, il accepte de remettre ses jugements en question lorsqu'une discussion critique et constructive lui est proposée.
Fitz a un jour aimé. Mais depuis « Ce Jour », il n'y croit plus vraiment. Il n'ose plus s'octroyer les petits plaisirs de la vie et il s'attache difficilement car il sait que la vie peut, en un clin d'œil, détruire tout ce beau tableau !
Date inconnue : J'ouvre enfin les yeux
Je cherche, je cherche, mais cela sans trop d'espoir désormais. Mon tout premier souvenir, celui où je vois pour la première fois distinctement à travers mes propres yeux est celui ci : Je suis debout, la nuit est tombée, je marche d'un pas hésitant. Mes petits pieds se frayent difficilement un chemin parmi les corps qui jonchent le sol. Je trébuche à plusieurs reprises, mes mains sont couvertes d'une substance rougeâtre, désagréable au touché et au gout étrange. La place que je traverse est complètement figée, cependant l'éclairage prodigué par de grands feux contraste cette immobilité. C'est étrange, je n'entends rien. Je ne me souviens pas entendre le bruit du feu. Je n'ai également pas entendu le bruit du cheval qui arrivait derrière moi. En une fraction de seconde, le cavalier m'attrape par le bras et me soulève comme un vulgaire pantin. Il m'observe longuement. Je me rappelle distinctement des yeux verts qui m'observent sous cette armure. Je suis calme, je n'essaye pas de me débattre. C'est certainement dû au choc que je viens de subir. Alors que je suis bras et jambes ballantes mes souvenirs disparaissent.
Je me réveille dans une grande salle chauffée par une cheminée dans laquelle un grand feu danse. L'homme au yeux verts remarque immédiatement que je suis en phase d'éveil. Ce dernier fait signe a l'homme qui se trouve derrière la grande table présente au milieu de la pièce. Ils s'approchent de moi et je peux me souvenir des mots que prononce l'homme au yeux verts :
« Ce garçon a survécu à ce massacre, aujourd'hui il a vu plus d'horreurs qu'un homme ordinaire en voit durant toute sa vie. Je l'ai vu s'accrocher à la vie alors qu'il se débattait avec les corps encore chauds pour continuer d'avancer. Si nous le recueillons, si nous le protégeons, si nous lui apprenons ce que nous savons, un jour, il sera un atout ! ».
L'autre homme fait signe de la tête et s'adresse à moi :
« Aujourd'hui sera le jour où tout va commencer pour toi. Tu seras Fitz, tu deviendras une arme si mon frère a vu juste ! »
Les souvenirs s'estompent.
Je me réveille plusieurs jours plus tard dans une ville surmontée d'un grand château. Cette même ville qui quelques jours auparavant était en feu. J'apprend vite que je suis à KastelCerf la mégapole des Istangur une famille puissante de La Région.
Plusieurs années se sont écoulées. A l'âge de mes 10 ans, Bruggs (l'homme aux yeux verts), m'apprend à manier l'épée, la dague, la lance et l'arc. Il m'instruit également, je peux maintenant lire et écrire. Suite à toute l'instruction reçue, je connais parfaitement l'histoire de la maison Istangur mais également celle des maisons adverses et je suis à l'aise lors de duels à mains nues et armées. Mon corps change, je deviens plus fort, plus malin, mes différents sens s'aiguisent…
J'ai 16 ans, Bruggs m'emmène au château. C'est la première fois que je pénètre en ces lieux. J'ai toujours vécu dans la vieille ville, chez une dame qui s'occupe d'une petite ferme. Bruggs me présente à un homme que je n'avais plus vu depuis des année, Thombir Istangur chef de la maison Istangur, l'homme qui a fait de moi Fitz celui a qui je dois la vie aujourd'hui. Il s'adresse à moi :
« Fitz, nous t'avons recueilli le soir où notre ville a subi un assaut majeur perpétré par la famille Gnutz mais je ne t'apprends rien. Tu es un des seuls rescapés la vielle ville, nous avons vu en toi une certaine force. Es-tu prêt aujourd'hui à poursuivre ta formation et à devenir ce que nous nous sommes toujours promis ? »
Je sais de quoi parle Thombir Istangur. En effet Bruggs m'avait mis la puce à l'oreille plusieurs semaines plus tôt. Ils vont faire de moi un assassin, une arme fidèle et aiguisée qui agit dans l'ombre pour le bien de la famille Istangur.
C'est ainsi que ma formation se poursuit. Je disparaît, je n'existe plus aux yeux de personne, sauf à ceux de Bruggs et Thombir. Mon métier entre dans ma peau, dans mes gestes, comme s'il était encré dans mes gènes et qu'il suffisait de le réveiller. Les années passent, mes missions se succèdent toujours couronnées de succès. J'aime ce que je fais. J'ai le sentiment de travailler pour une cause juste, celle de ma maison.
J'ai 24 ans, c'est une journée paisible. Aujourd'hui, je n'ai rien à faire. Cela n'arrive pas souvent, tellement rarement que je ne sais que faire. Je décide de me mettre en route vers le lac. Le coin est calme, le soleil est haut dans le ciel. Je dévale un petit sentier quand soudainement un cheval fait route en ma direction. Etonné de remarquer que le cheval est sellé mais pas monté d'un cavalier, je décide d'arrêter ce bougre, ce qui n'est pas une mince affaire. En effet ce dernier est bien apeuré. Tant bien que mal je parviens à monter sur la jument et à la calmer quand une jeune femme arrive à toute allure et fortement essoufflée. Ce cheval lui appartient, ce n'est pas la chose importante de l'histoire. Ce qu'il faut retenir c'est que je tombe amoureux de cette femme au moment où je l'aperçois. Depuis ce jour, nous nous revoyons en cachette à chaque fois que je ne suis pas occupé pour l'intérêt de la famille Istangur. Je suis conscient que tout ceci est à l'encontre de mon apprentissage, mais Eléa illumine mes journées quand je suis avec elle.
Deux années se déroulent de la sorte. Je suis fatigué des missions que je reçois. Ces dernières me semblent être de plus en plus incohérentes. Les desseins des Istangur, plus précisément ceux de Thombir deviennent beaucoup trop personnels. Il a toujours agi pour la cause de sa ville et de ses habitants mais depuis peu il aspire à prendre le contrôle sur tout La Région. De plus, mon amour grandissant envers Eléa lui a fait naitre un petit être sous le nombril.
Je décide un jour d'aller voir Thombir Istangur. Je lui présente ma situation et lui demande faveur après toutes ces années de service. Thombir Istangur éclate en rage, refuse catégoriquement ma demande et perd complètement la tête. Il ordonne aux garde de m'attraper pour m'exécuter le soir même.
J'ai 26 ans, presque 27, je suis dans le donjon de Thombir Istangur. Je dois être pendu ce soir pour trahison. Que se passe t'il ? Alors que tout espoir quitte mon être, Bruggs se présente à l'entrée de ma cellule. L'homme que j'ai connu si fort, si sûr de lui, est aujourd'hui en morceaux. Il m'explique rapidement qu'il n'a pas le temps, qu'il n'est pas d'accord avec la décision de son frère et m'aide à m'échapper. Je m'enfuis avec Eléa. Nous quittons le continent pour nous rendre en Valgouis. Jamais je ne remercierais assez Bruggs de m'avoir donné la chance de m'échapper.
J'ai 31 ans, nous vivons dans notre ferme Eléa, Jim, Lucy et moi. Cela fait maintenant presque quatre ans que nous sommes installés. Nous cultivons nos terres et élevons notre propre bétail. Je me suis juré de ne plus jamais prendre la vie d'une personne. La vie suit son cours.
Cette saison, nous avons eu une bonne récolte en plus d'une belle portée de cochons de lait. Je me presse au marché pour vendre notre grain ainsi que la poignée de bêtes. Cela devrait nous suffire pour passer sombrose sans problèmes. Je décide d'acheter quelques outils qui nous permettraient de renouveler ceux achetés il y a 3 ans.
A mon retour à la ferme, je remarque que quelque chose ne va pas. Il fait beaucoup trop calme. J'entre dans l'enceinte, je profite pour dégainer la dague que je porte toujours à ma ceinture afin de parer toute éventualité. Je remarque que la porte de la maison est entrouverte. Je me précipite à l'intérieur. A ma grande surprise, trois silhouettes sont à l'intérieur. Je reconnais l'homme tout à gauche : Thombir Istangur, l'homme qui a essayé de m'exécuter malgré mes années de loyaux services. Il ne m'a donc pas oublié…
La situation est tendue, les deux hommes qui l'accompagnent retiennent mes enfants et Eléa. Ça y est, mes cauchemars m'ont rattrapés. Que faire ? La vie de ma famille est en jeu. J'analyse rapidement la situation. L'un des acolytes de Thombir, le plus petit et le plus rondouillet retient mes enfants. Ils sont bloqués sous ses genoux. Il porte une longue épée au fourreau. L'autre beaucoup plus grand et plus musclé que moi place une dague sous la gorge d'Eléa et affiche un sourire narquois. Thombir prend la parole :
« Cela fait maintenant quatre années que j'attends ce moment. Ce moment où je pourrai anéantir tout ton petit monde. Je t'ai recueilli, instruit, formé et lorsque j'avais besoin de toi, que j'allais enfin arriver à mon but, tu me fais faux bond ?! Mais plus grave encore, tu parviens à t'échapper. J'ai très bonne mémoire et je suis très patient. Il m'en a fallu du temps pour te retrouver mais nous y sommes enfin, tu vas payer pour cette trahison ! »
A ce moment le petit acolyte sort son épée de son fourreau. J'ai à peine le temps de réagir. En une fraction de seconde, je vois ma vie d'assassin défiler devant mes yeux. Des sensations que je n'ai plus perçues depuis des années reviennent en moi. J'expire lentement, je suis lucide, je sais ce que je dois faire. Je lance ma dague en direction de la gorge de l'assassin à l'épée. Ce dernier écarquille les yeux, il vient de comprendre ce qu'il lui arrivait. Trop tard pour lui, il commence déjà à s'effondrer. A côté de lui, l'autre assassin coupe lentement la gorge d'Eléa toujours porteur de son sourire. Je m'empare de ma dague qui se trouve dans ma bote droite et saute sur ce dernier. Il lâche ma femme au sol et me fait face pour combattre. Pas de chance, je suis plus rapide et lui assène trois coups de dague : un dans le bas ventre, l'autre à la base du cou et le dernier fatal, entre la septième et huitième côte gauche. A peine ai-je le temps de me retourner vers Thomnir que ce dernier est entrain de faire pénétrer sa lame dans la poitrine de ma petite Lucy. Jim est déjà inerte dans une flaque de ce liquide que je déteste depuis aussi loin que mes souvenirs me permettent de remonter.
La rage vient effacer ma lucidité, je vois rouge. Trop tard, sur ce coup, je n'étais pas prêt. Je savais que ce jour allait arriver mais il est trop tard tout est terminé. La colère explose en moi. Thomnir remarque ce petit détail, il se relève et comprend qu'il vient de mettre fin à ses propres jours. Il engage le combat pour sauver sa vie. Ce qu'il ne sait pas c'est que je suis une arme parfaitement entrainée et ça grâce à lui, grâce à son bon vouloir. Lors de la lutte je parviens à lui clouer son pied gauche au sol à l'aide de ma dague. Je m'empare de l'épée du petit gros et délivre une frappe en ce point précis qui permet à la tête de Thombir de décoller de son corps. Ça y est, cet homme a réussi à me détruire, à détruire toute ma vie.
Alors que je suis sur mes genoux à pleurer la perte de ma famille, un bruit survient de la porte d'entrée. J'attrape l'épée qui git à mes côtés et me retourne… Bruggs. La rage grandissante en moi me fait foncer vers cet homme afin de lui ôter également la vie. Je peux voir dans ses yeux verts qu'il a compris, qu'il n'essayera pas de se défendre. Il n'a pas pu empêcher le massacre qui vient de se dérouler. C'est à un centimètre de sa gorge que j'arrête l'épée. Je me rappelle que cet homme a autre fois fait preuve de bravoure afin de me faire libérer. Il est allé à l'encontre de son frère pour sauver ma vie. A moi de faire pareil.
Je lis dans ses yeux qu'il a fait tout son possible pour empêcher l'acte de son frère. Que j'ai certainement pu vivre quatre années avec ma famille grâce à lui. J'abaisse lentement mon épée. Nous n'avons nullement le besoin d'échanger des mots. Bruggs comprend ma douleur, pose une main sur mon épaule. Par la mort de son frère il devient le seul héritier de KastelCerf. Ma dette est payée.
Dans la journée, je m'occupe des dépouilles de ma famille. Je leur rends un dernier hommage pendant l'incinération. A contrario, j'ai jeté le cadavre de Thombir et de ses deux larbins dans les bois afin que les bêtes qui rôdent puissent se nourrir.
A moi de rejoindre de nouvelles contrées, plus rien ne me retient ici... Partons pour un voyage!
Bravo à ceux qui ont tout lu
Je sais que c'est semi rp, mais le personnage existait déjà avant, je ne fait que vous le présenter
Niveau IG je n'ai pas de portfolio. Mes constructions sont assez basiques voir ridicules donc je vais vous épargner les screens. Je n'en ai pas d'ailleurs. Par contre comme je l'ai dit plus haut, je m'intéresse à la redstone, donc j'aime tester des choses afin de contribuer au bien de la communauté. Et ce que j'aime encore plus c'est le farm ^^ la mine, la chasse et la ferme! Waw
Minecraft en somme
Je déclare donc avoir 15 ans ou plus.
Si vous avez des questions n'hésitez absolument pas, je suis là pour y répondre.